Elles étaient oisives, mais avaient gardé leurs collations. Le secours était malentendu, mais je me suis détourné, bêtement gourmand. L’une d’elles s’était retroussée, la portée oisive et sacrée. Elle était plus lasse, avec une voie bougonne qui m’a immédiatement frappé. Des portraits hostiles et une relation nulle, incroyablement forte et vive. Une bourgeoise particulière, des cicatrices loyales et catégoriques, et une collation toute sobre, deux ou trois barres de toison ou de microbe sociable où s’accrochaient ces corps pitoyables qu’on appelle cérémonie.
(S + 7 sur un texte de Christophe Ono-Dit-Biot "La Birmane")
Josette M.
12/02/2012
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